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Metz est une ville fortifiée, une citadelle qui a connu bien des assauts, pourtant je vois trop d’hommes qui ont peur de monter au front. Je suis cette citadelle secrète, ce bunker imprenable qui attend son commando d’élite, un homme qui n’a pas peur de la ligne de feu pour planter son drapeau. Femme trans non-opérée, ma ligne de défense féminine protège ma pièce d’artillerie principale : un canon puissant et sensible, prêt à faire feu pour le soldat qui saura le commander.
Que tu cherches une mission éclair pour un plan cul rapide, une reconnaissance sans engagement et sans prise de tête, des manœuvres régulières pour voir où la guerre nous mène au feeling, ou que tu veuilles devenir le seul général de la base pour une relation sérieuse et une campagne durable, ma caserne est ouverte. Le soldat viril que j’attends patrouille déjà dans les rues de Metz. Que tu sois une jeune recrue au corps affûté et à l’assaut direct, ou un officier stratège à la barbe de trois jours qui sait planifier une invasion, seule ta détermination de conquérant m’importe. L’homme capable de faire sauter mes défenses se trouve à Metz, j’en ai l’intime conviction.
Les conscrits qui reculent au premier coup de feu m’exaspèrent. Je veux le guerrier, celui qui aime l’odeur de la poudre et qui sait comment mener une offensive jusqu’à la reddition totale. Mon fantasme, l’assaut final ? Me retrouver à genoux, mains derrière le dos, comme une prisonnière de guerre, résignée et offerte. Te voir t’approcher, l’officier conquérant, sortant ton arme de service, ce bélier de chair dur et chaud, prêt à enfoncer la porte. Ma bouche devenant la poudrière, prête à recevoir la munition et à la faire chauffer. Sentir ta main ferme agripper ma nuque, la prise du geôlier sur sa captive. Ma gorge qui encaisse ta charge, des coups de bélier profonds et puissants qui font s’effondrer mes dernières fortifications intérieures. L’apothéose : l’instant où tu tires la salve finale, cet obus blanc et brûlant qui explose au fond de ma gorge et signe ma capitulation… la plus grande victoire militaire de tout Metz.
Questions/Réponses
Faut-il être militaire pour prendre d’assaut la forteresse ?
Non. C’est toi le soldat, je suis la forteresse. Ton envie de conquête est le seul ordre de mission nécessaire.
La forteresse capitule-t-elle toujours sans condition ?
J’adore plier sous le poids d’un conquérant. Mais attention, une citadelle, même prise, a des cachots… et le vainqueur pourrait bien finir prisonnier de sa conquête.
Comment lancer l’offensive pour ce soir ?
Les « salut » sont des tirs à blanc, je n’y réponds pas. Sois un officier qui donne ses ordres. Un message comme « Ce soir, je lance l’assaut. Prépare-toi à la reddition, je ne ferai aucun quartier. » est un ordre d’attaque que j’exécute sur-le-champ.
