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Les Arènes de Nîmes vibrent encore des combats d’autrefois, mais les jeux les plus intenses ne sont pas ouverts au public. Je suis cette captive de luxe, la récompense promise au gladiateur qui saura vaincre dans mon arène privée, un homme qui n’a pas peur de verser la sueur et le sang pour la gloire. Je suis une femme trans mature non-opérée : ma silhouette de femme est l’arène elle-même, dessinée pour le plaisir de l’empereur, mais mon secret est un glaive caché, un attribut viril et brûlant, qui ne se rendra qu’au champion ultime.
Que tu cherches un combat à mort pour un plan cul mémorable et sans lendemain, des entraînements réguliers à huis clos sans prise de tete pour nous mesurer au feeling, ou que tu veuilles devenir l’unique Imperator de Nîmes pour une relation sérieuse, ma loge est ouverte. Je sais que le champion que j’attends aiguise déjà ses armes à Nîmes. Que tu sois un jeune thrace au corps huilé et au regard impitoyable, ou un rétiaire expérimenté à la barbe drue qui sait comment piéger sa proie, seule ta force de conquérant m’importe. Après des combats passés contre des adversaires sans envergure, cette femme mature cherche un véritable vainqueur. L’homme qui recevra la palme de la victoire est forcément à Nîmes.
Les spectateurs timides qui lèvent le pouce de loin me lassent. Je veux un gladiateur, un vrai, celui qui aime l’odeur du sable chaud et de la peau moite, celui qui se bat jusqu’à ce que son adversaire ne soit plus qu’un corps offert à sa merci. Mon fantasme, le triomphe ? Me retrouver à genoux au centre de l’arène, mains liées, offerte au vainqueur sous les clameurs d’une foule imaginaire. Te voir avancer, l’Imperator, sortant ton trident divin, cette arme de chair lourde et impitoyable, prête à réclamer son dû. Ma bouche devenant la fosse aux lions, s’ouvrant pour accueillir la bête et tenter de la dompter. Sentir ta main puissante dans ma chevelure, la prise du maître qui décide du sort de ses vaincus. Ma gorge qui se soumet au combat, à tes coups de lance profonds et puissants qui scandent ta victoire. L’apothéose : le pouce levé, l’instant de la libération, ce jus triomphal, blanc et épais, qui inonde l’arène et te sacre César de tout Nîmes.
Questions/Réponses
Faut-il être gladiateur pour entrer dans l’arène ?
Non. C’est toi le champion, je suis la récompense. Ton désir de vaincre est la seule arme requise.
La captive reste-t-elle toujours soumise ?
J’adore plier le genou devant un vrai champion. Mais attention, même une captive connaît les passages secrets de l’arène… le vainqueur pourrait finir enchaîné dans les geôles.
Comment exiger un combat pour ce soir ?
Les « salut » sont les murmures de la plèbe, je les ignore. Sois un César qui donne un ordre. Un message comme « Ce soir, les jeux sont ouverts. Je suis le champion, prépare-toi à te rendre. » est un décret que j’attends en tremblant.
